1, 2, 3 … 841 Kg
ADOREM est engagée.
Ce mot très fort, parfois malheureusement employé à la légère, nous convient parfaitement. L’environnement, la bio-diversité, la place de l’homme et tous les sujets associés sont une préoccupation majeure.
Alors oui, toutes les entreprises le disent et beaucoup ont entamé des actions visant à réduire leur impact.
ADOREM a choisi l’an dernier de proposer des formations liées à ces sujets, s’appuyant sur l’expertise de Jean-Marie Madoré.
Pour aller plus loin, être cohérent avec nos valeurs, nous avons décidé d’entamer une démarche de calcul de l’empreinte carbone. Ce n’est obligatoire que pour les entreprises de plus de 500 employés mais nous tenions à avoir une idée du volume de nos émissions.
Dans les faits, nous pensons être relativement sobres, nous prenons les transports en commun, le vélo musculaire, le vélo électrique… De temps en temps du covoiturage et plus rarement encore une voiture personnelle pour nous rendre sur les lieux de formation ou de prestation. Ce sujet est constant et fait partie intégrante de nos formations où nous prônons discrètement le « numérique responsable ».
Mais entre une « impression » et la réalité des chiffres il peut y avoir un monde.
Nous avons donc missionné Jean-Marie pour nous faire un état des lieux, un premier « bilan carbone ». Nous avons d’abord appris qu’un Bilan carbone et un Bégès (Bilan des émissions de gaz à effet de serre) étaient deux calculs bien distincts, le Bégès étant beaucoup plus complet et ardu à calculer.
Total : 881 Kg équivalent CO2
Ce qui ressort de ses calculs est un total de 442 Kg eq. CO2 pour les transports et un bilan quasiment identique pour le numérique à 399 Kg eq. CO2. C’était étonnant, nous pensions que l’impact de notre activité directe (les formations) serait la partie la plus importante!
Même si l’usage des modes de déplacements doux et le train font déjà partie du quotidien des collaborateurs d’Adorem, les transports représentent une grande part de ses émissions de CO2.
L’activité ADOREM est clairement liée à l’utilisation des outils numériques, le matériel de chacun a été recensé et évalué (ordinateurs, téléphones, écrans multiples et tablettes graphiques qui font la particularité de nos formations). La fabrication, l’usage et la fin de vie sont pris en compte dans ce calcul grâce notamment aux données de l’ADEME qui fait autorité sur le sujet.
Et après?
Ce bilan n’est bien sûr pas exhaustif mais représente une première étape. Le calcul était global sur l’année 2024.
A l’avenir, nous souhaitons pouvoir vous communiquer les impacts réels de chaque formation que vous choisissez. Qu’elle soit à distance, en région parisienne, à La Rochelle ou partout ailleurs, les impacts sont évidemment différents.
Cela pourra devenir un nouveau critère de choix.
Evidemment cela nous aidera également à mieux calculer notre empreinte globale. Dans le futur, nous envisagerons le Bégès beaucoup plus complexe à mettre en oeuvre.
Et vous, où en êtes-vous par rapport à ces considérations?
Etude réalisée par Jean-Marie Madoré de Mobility Partner.